L’année 2018 est déjà là, et on s’attend déjà à ce qu’elle soit mauvaise pour les véhicules diésel. Cependant, 2019 risque d’être encore plus mauvaise pour les voitures diesel. Avec la publication du nouveau rapport relatif aux contrôles techniques et aux émissions polluantes, les voitures diesel devront montrer patte blanche aux contrôles techniques à partir du 1er janvier 2019. Ce qui devrait, encore une fois, mettre les propriétaires de véhicules diesel dans l’embarras.
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Le respect des émissions prévues par la norme NFR10-025 de 2016
Initialement prévus pour le mois de mai 2018, il faudra attendre le 1er janvier 2019 pour que cette nouvelle exigence s’applique sur les véhicules diesel. Pendant, ce temps, les véhicules diesel n’ont plus vraiment la cote au niveau des acheteurs et les fabricants voient leurs ventes chuter. Concrètement, en 2019, il faudra respecter la norme NFR10-025 de 2016 pour tous les véhicules diesel. Avec cette exigence, le taux de véhicules envoyés en contre-visite pour cause de fumée trop opaque devrait passer de 1 à 15%. Ce qui représente une véritable avancée dans la lutte contre les émissions de gaz à effet de serre dont les véhicules diesel sont particulièrement responsables.
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Un contrôle technique plus cher
Autre mauvaise nouvelle pour les automobilistes, le contrôle technique les olives va coûter plus cher. En effet, à partir du 20 mai 2018, ils devoir dépenser plus pour obtenir un contrôle technique efficace. De plus, le contrôle technique qui sera effectué sur les voitures (essence comme diesel) sera plus cher, plus long, plus complet et par conséquent plus cher. Ce qui va, par ailleurs, entraîner de plus en plus de contre-visites, donc plus d’argent à dépenser pour les automobilistes. Côté contrôle technique, il faut dire que les choses vont commencer à se corser pour tous les automobilistes, en attendant 2019.
Quelques nouveautés pour les véhicules essence
Au 1er janvier 2019, le contrôle technique les olives pour la pollution va sans connaitre de nouveaux changements. En effet, les contrôleurs seront désormais tenus de collecter les niveaux d’émission individuels de gaz à effet de serre. L’objectif, c’est de parvenir à déterminer à terme une véritable traduction de l’état thermodynamique du moteur. Dès lors, un défaut mineur pourrait entraîner une contre-visite et des dépenses supplémentaires pour l’automobiliste. Dès lors, la mention « sans dysfonctionnements importants » va bientôt être incluse dans la nomenclature des défauts à partir du 1er janvier 2019.
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